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Mes dessins d'actu, d'humour et autres pensées profondes
5 août 2008

Limites

- Ceux qui cherchent constamment à dépasser leurs limites souffrent sans doute d’être très limités. Hub.
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Commentaires
M
moi avoir le syndrome de JC khalala mais tu connais donc mes limites ;-)<br /> <br /> nous ne sommes pas tous pareils, par exemple dans la réceptivité et dans la réactivité, mais l'un peut exceller dans un domaine dans lequel l'autre est très mauvais et inversement lol ensuite, parce que la nature a mis ce qu'elle a pu dans chacun d'entre nous, certains doivent ramer en permanence ...
H
Maxence tu as raison, surtout les enfants pratiquant les arts martiaux face à des parents musiciens, car dans ce cas, il y a de fortes chances que les limites ou les bornes des uns ne soient pas celles des autres. ;o)<br /> <br /> Ok ATN, mais pourquoi vouloir à tous prix toujours progresser? Le plaisir de pratiquer un sport est-il forcément lié à cette idée de progression, de dépassement? Et pour aller où?<br /> L'aboutissement n'est qu'une question de temps, variable selon les individus. Tôt ou tard la progression s'arrête après avoir dépassé un certain nombres de limite cérébrales pour laisser place à la régression voir la dépression. L'aboutissement est donc LA limite, la seule de cette quête, infranchissable. <br /> Alors, le jeu en vaut-il la chandelle, et à quel prix? Il suffit de voir le nombre non négligeable de sportifs professionnels constamment soignés avec toujours un pet de travers...<br /> <br /> Je pense que tout cela est très personnel finalement, tout dépend de ce que l'on met dans la pratique d'une activité sportive, ce que l'on attend en retour et ce que l'on cherche à se prouver à soi-même et aux autres... Cela se situe au-dela du pur plaisir il me semble.<br /> Pour ma part, je pratique beaucoup de sports, je n'ai aucune limite et ne me dépasse donc jamais parce que j'ai compris que devant moi, ce sera toujours moi, bref, je suis un sportif stagnant et très heureux de l'être. ;o)<br /> <br /> Bon, en fait c'est faux, c'était juste pour illustrer mon propos. Dans la réalité je ne pratique que des sports utiles, à savoir: couper du bois pour le feu à la hache, tondre la pelouse à la faucille, élaguer les arbres à la scie égoïne, aller chercher mon Whisky et mes clopes en vélo, et enfin, accomplir mon devoir conjugal en écoutant "Strangers in the Night" pour que l'harmonie règne sur le tout. Voilà, Pfff! Epuisant, mais sans limites! ;o)
M
Ils essaient en permanence de dépasser les limites qu'on leur fixe, pour s'affirmer... A moins que ce ne soient des bornes... Je ne sais plus ! ;)
A
Je suis parfaitement d'accord avec la distinction que tu établis entre limite et borne.<br /> Cependant, "pour se sentir exister pleinement" est une expression qui tend vers le péjoratif... sans compter que la notion de limite personnelle est on ne peut plus palpable en sport !<br /> Les concepts même d'apprentissage et de progression supposent des stades à franchir, soit des limites provisoires que l'on repousse au fur et à mesure. Ce qu'on a dans la tête, c'est l'idée que l'on se fait de sa capacité à progresser, ce qui est différent ;)<br /> Se sentir capable, c'est un premier pas vers la réalisation... mais ce n'est pas l'aboutissement !!<br /> <br /> Choule et Milla, vous non plus vous n'êtes pas en vacances ? :D<br /> <br /> Et pis d'abord, qu'est ce que vous avez contre les pratiquants d'arts martiaux qui tentent de réfléchir ?!!! >(<br /> <br /> :)
H
ATN, les limites sont personnelles, les bornes imposées par les autres, elles correspondent en général aux lois communes admises par le plus grand nombre.<br /> Pour se sentir exister pleinement certains cherchent à dépasser leurs limites supposées en permanence, notamment dans le sport ou au sein de l'entreprise qui les y incite.<br /> La notion de limite personnelle est en fait une vue de l'esprit, puisque dans l'absolu on ne sera jamais capable de faire quelque chose que l'on est potentiellement incapable de faire... les limites sont donc dans la tête.<br /> Ce n'est pas à un adepte des arts martiaux qui me dira le contraire, me trompe-je? ;o)<br /> <br /> Choule et Milla<br /> Pfff! Van Damme, damned! Je l'aime plutôt bien lui avec ses délires déroutants, qui, si on s'en donne la peine, peuvent faire réfléchir sur la relativité des choses selon notre façon de les appréhender. Bref, Van Damme incarne cette relativité qui de plus a le mérite de nous faire marrer... ou pas... <br /> Milla, cherche pas, je crois que tu es atteinte du syndrôme de JC.<br /> Apportez lui les sels, vite ;o)
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